20160523 – Comics News : Les super-héros des comics sont le dernier or noir du cinéma – O – L’Obs

Sipder-Man, X-Men, Superman, Batman… Nés dans des illustrés à quatre sous, ces super-héros nourrissent Hollywood ad libitum. Une aubaine pour les négociants experts en vieux comics, dont les cotes explosent.
Texte : Philipp Guedj photographie : Paul & Henriette (pour l’Obs)

Les clients de la boutique JHU Comics, en plein cœur de Manhattan, n’en ont pas cru leurs yeux. Le 4 avril dernier, peu après 14h30, Docteur Strange en personne passe une tête à l’improviste, achète une copie de la BD portant son nom et prend la pose tout sourire avec les managers du magasin. À deux pas de la 32e rue, à la fin du tournage de l’adaptation par Marvel des aventures du maître des forces occultes, l’acteur Benedict Cumberbatch fait son petit effet en costume et l’image fait le tour du web. Symbole d’une love story entre les comics et Hollywood ? Pas vraiment.

Les créateurs totalement zappés

Mark Millar l’a un peu mauvaise. Le scénariste créateur de Civil War, la mini-série qui a révolutionné l’univers Marvel au milieu des années 2000, digère mal que Marvel Studios ne l’ait pas associé à la promotion du blockbuster Captain America : Civil War. L’intrigue du 3e volet des aventures du super-patriote, en salles depuis le 27 avril, ne fait que repiquer quelques idées clés de son travail. Il ne s’est d’ailleurs pas privé de le rappeler à plusieurs reprises, ces derniers jours, sur son compte Twitter. Millar, dont la série Ultimates avait déjà été généreusement pillée dans les films Iron Man et Avengers, peut se consoler en se disant qu’il n’est pas le seul. Le précédent Captain America : le soldat de l’hiver reprenait mot pour mot le titre d’une mini-série du scénariste Ed Brubaker, sans jamais que ce dernier ne reçoive d’honneurs particuliers. Et c’est très discrètement que le générique de fin de Batman Vs. Superman de Zack Snyder remercie Frank Miller, alors que moult répliques et plans du film puisent directement dans sa mythique tétralogie en BD The Dark Knight Returns. Par ailleurs, qui se souviendra du nom des vrais créateurs deDeadpool (Rob Liefeld et Fabian Nicieza), carton mondial de l’année au cinéma ? Ou encore du véritable créateur du Punisher (Gerry Conway), le super flingueur vu sur Netflix dans la série Daredevil saison 2 ? Et pourtant : leurs histoires, fantaisies de papier vendues jadis entre 50 cents et 2 dollars dans les échoppes de comics, sont devenues un carburant crucial de l’industrie hollywoodienne.

Des comics strips au grand écran

Si les auteurs semblent définitivement oubliés, les BD elles-mêmes s’en sortent mieux. « Jusque-là, les studios adaptaient principalement des livres, explique Fabrice Sapolsky, fondateur de la revue spécialiséeComic Box et lui-même scénariste de comics (Spider-Man Noir pour Marvel). Mais le triomphe inattendu de X-Men et de Spider-Man, en 2000 et 2002, a prouvé à Hollywood le potentiel des comics. Pour eux, c’est du pain béni : ils voient tout de suite à quoi peut ressembler le film, c’est plus facile pour investir. Pour convaincre les acteurs de faireWatchmen, le réalisateur Zack Snyder leur a envoyé directement la BD. » Pour la première fois, des comics se retrouvent également entre les mains d’investisseurs capables d’aligner, sur la foi d’une première lecture, des dizaines de millions de dollars. Le changement de paradigme ne s’arrête pas là : le comic book n’est plus un produit culturel pour ados ou nerds, mais bel et bien une œuvre. Et déjà, la valeur faciale du produit n’a plus rien à voir avec son impact.

 

Dès 1986, Watchmen, la saga nihiliste retourne en effet comme une crêpe l’intelligentsia littéraire et médiatique. Pour la première fois depuis l’acte de naissance officiel des justiciers en collants (Action Comics n°1, 1938 : première apparition de Superman), un illustré mensuel en 12 épisodes offre une réflexion consciente sur le genre ainsi qu’un regard effroyablement pessimiste sur son époque. Encensée jusque dans le magazine Time, Watchmen remporte une flopée de récompenses et sa réédition en version compilée popularise, avec The Dark Knight Returns de Frank Miller, publiée la même année également chez l’éditeur DC, l’appellation de « roman graphique ». Néanmoins, pour se les procurer, il faut encore à l’époque se rendre dans des boutiques spécialisées et celui qui cherche d’anciens exemplaires passe par la case bouquiniste sans pour autant devoir casser sa tirelire.

Les créateurs du 7e Art ne se sont pas pour autant massivement emparés des surhommes du 9e. Excepté les icônes d’avant-guerre, Batman et Superman, les comics de super-héros devront attendre le xxie siècle pour voir leur valeur décupler. Les planètes s’alignent alors : les progrès des effets numériques permettent enfin des miracles et, surtout, les ados des années 1970/80, les plus exposés à cette culture, prennent le pouvoir à Hollywood. J. J. Abrams, Sam Raimi, Joss Whedon, Christopher Nolan, Zack Snyder, et jusqu’aux plus hauts cadres des studios : à Los Angeles, les décideurs bouffeurs de comics professent leur amour du genre et par là même le légitiment.

L’irrésistible ascension du vintage

Les recettes spectaculaires des films Spider-Man et X-Men, le besoin de héros positifs dans une Amérique post 11-Septembre, le choc The Dark Knight en 2008 puis le big bang des productions Marvel Studios initié par Iron Man font le reste.

Le petit écran lui aussi s’abreuve au même or noir :

Aujourd’hui, un geek absolu comme le producteur Greg Berlanti est le showrunner de quatre séries télé de super-héros à l’antenne : Flash, Arrow, Supergirl et Legends of Tomorrow. Quatre ! C’est sans précédent !

ajoute Fabrice Sapolsky. Juste retour de bâton, c’est précisément à l’aube des années 2000, lorsque le cinéma décuple leur aura culturelle que la cote des comic books vintage s’envole et que son marché se structure grâce à l’essor du web.

Quelques personnes avaient déjà commencé à collectionner les comics depuis le début, mais ils ne communiquaient pas vraiment entre eux. Ils le faisaient simplement par plaisir personnel

rappelle Barry Sandoval, directeur du département comics de la société Heritage Auctions.

Une BD à 3,2 millions de dollars

Le Californien Mitchell Mehdy fut ainsi le premier, en mai 1973, à susciter un buzz médiatique national en payant, du haut de ses 18 ans, 1 800 dollars pour une copie originale du célèbre Action Comics n°1. « Il fut interviewé dans les talks shows et les magazines, mais à l’époque les gens le prenaient plutôt pour un demeuré« , précise Sandoval. Trente-huit ans plus tard, en 2011, personne ne rit au nez de l’acheteur d’une autre copie du même Action Comics, vendu à 2,1 millions de dollars : Nicolas Cage, collectionneur notoire de comics avec quelques autres célébrités hollywoodiennes. Considéré désormais comme un précurseur gourou du secteur, Mitchell Mehdy continue lui-même de collectionner les comics vintage et prédit aux chefs-d’œuvre du genre un destin similaire aux toiles d’Andy Warhol ou de Picasso.

Depuis plus de dix ans, les records d’enchères de ces vieilles bandes dessinées sont régulièrement battus : un million de dollars pourDetective Comics n°27 (1939, première apparition de Batman) en 2010 ; 1,8 million pour une copie quasi parfaite d’Amazing Fantasy n°15 (1962, première apparition de Spider-Man) en 2010 ; 3,2 millions de dollars pour l’indétrônable Action Comics n°1 en 2014. « Je suis certain de voir un jour le premier Action Comics atteindre une vente à 10 millions de dollars« , écrivait Mitchell Mehdy en 2011 sur le site Collectors Society. Avec un nouveau facteur à prendre en compte : les adaptations au cinéma ou à la télévision. « Les films, ou même la simple annonce d’un futur tournage, a un effet multiplicateur incontestable sur la cote de la B. D. concernée : aujourd’hui, une copie de très bonne qualité du premier numéro de Suicide Squad (1987 et adaptée cette année sur les écrans) se vend déjà 3 000 dollars. Il y a encore cinq ans, on ne l’aurait même pas envoyée la faire expertiser« ,explique Barry Sandoval.

 

Expertiser ? Dans leur grande majorité, ces records officiels sont en effet atteints lors de ventes gérées par d’authentiques sociétés de négoce, dont les leaders : Heritage Auctions (basée à Dallas) et la new-yorkaise Metropolis Collectibles. La première organise de vraies ventes aux enchères en live, quatre fois par an entre New York, Los Angeles et Dallas :

Aujourd’hui, les collectionneurs achètent ces périodiques comme un investissement qu’ils espèrent bien rentabiliser des années plus tard

résume Barry Sandoval. Pour preuve, le sexagénaire new-yorkais Walter Yakaboski avait acheté 1.200 dollars une copie en parfait état d’Amazing Fantasy n°15 en 1980. Le 18 février dernier, au terme d’une vente organisée à Dallas par Heritage Auctions, Yakaboski revendait son exemplaire… 454.000 dollars.

Des agences de cotation

Dans ces société de négoce, les prix sont déterminés à partir de l’état des copies concernées, notées de 1 à 10 sur une échelle fixée officiellement par la société privée CGC (Comics Guarantee LLC). Créée en 2000 et basée en Floride, cette dernière détient le monopole de la cotation des comics de collection aux États-Unis au même titre que les agences de cotation dans le milieu de la finance : « Chaque exemplaire est évalué par trois juges différents, totalement neutres, qui l’examinent sans connaître l’identité du vendeur, explique Barry Sandoval. Chacun donne leur note et le CGC retient la moyenne puis scelle le comic book dans une pochette en plastique dur. Tant que le sceau n’a pas été brisé, la note est toujours valide. » Une fois certifié CGC, l’exemplaire de collection est confié aux bons soins d’une société comme Heritage Auction, qui le conserve dans un coffre-fort à l’adresse tenue secrète. Avec leurs commission de 10% facturée à chaque vente pour leur service d’intermédiaire, Heritage Auction, Metropolis Collectibles et d’autres ont fait fortune. Les auteurs, scénariste ou dessinateur, déjà quasi-oubliés des génériques à l’écran, ne verront pas non plus la couleur de cet argent : « C’est hélas habituel dans le système américain, rappelle Fabrice Sapolsky. Quand un auteur signe pour Marvel ou DC, il cède à vie tous ses droits sur sa création. » Cela n’a pas empêché l’écrivain le plus côté du moment aux États-Unis, Ta-Nehisi Coates, auteur d’Une colère noire, lettre à mon fils (Édition Autrement), de s’atteler le mois dernier au scénario de la bande-dessinée Black Panther, relançant la carrière d’un des rares super-héros africains de l’univers Marvel. Celui-ci étant déjà destiné à faire l’objet d’un film en 2018, il est fortement recommandé d’acheter les exemplaires encore disponibles.

Philippe Guedj

Source : Les super-héros des comics sont le dernier or noir du cinéma – O – L’Obs

20160520 – Comics News :THE PHANTOM’s 80th Anniversary Celebrated With Exclusive DUBLIN COMIC CON Release | Newsarama.com

Fans of the ghost who walks will have to walk to Ireland for this issue.

2016 is the 80th anniversary of the pulp comics hero the Phantom, and for the occasion there is a special one-shot comic book scheduled to be released… but you’ll have to go to Dublin, Ireland to get it.

Dublin Comic Con has reached an agreement with King Features Syndicate, the owner of the Phantom, to produce an exclusive one-shot coinciding with the character’s 80th anniversary. The issue will be sold during the convention, which is scheduled for August 6 and 7 at Dublin’s Convention Centre. All proceeds will be donated to three nearby children’s hospitals: Tallaght Hospital’s Children Ward, Temple Street Children’s Hospital, and Crumlin Children’s Hospital.

This special 80th anniversary Phantom one-shot will have short comic strips by local cartoonists, as well as reprints of Lee Falk’s original strips as well as backmatter on historial articles on the character, Falk, and King Features Syndicate.

Source : THE PHANTOM’s 80th Anniversary Celebrated With Exclusive DUBLIN COMIC CON Release | Newsarama.com

20160520 – News : NYCC Announces That 2016 Will Mark Stan Lee’s Last Appearance At The Show | Comic Book Resources

NYCC Announces That 2016 Will Mark Stan Lee’s Last Appearance At The Show – The Marvel Comics legend is cutting down on his convention schedule in the future.

Source : NYCC Announces That 2016 Will Mark Stan Lee’s Last Appearance At The Show | Comic Book Resources

 

Avis Pimpf :

EN  : Stan Lee is one of the major personality in the comics industry that is still alive, he ‘s the creator of most iconic Marvel Characters and At 93  he’s still around and we’re lucky to have him , I can imagine that from now on he will have to take things easily and that is normal. When he’ll disappear he will sure leave a big mark in the industry and among fans, even though there has been controversy about how much he was involved in developping all the characters he designed , those last years he always gave credit to the artists he worked with like Jack Kirby Steve Dikto, Gene Colan and so on that collaborated with him bringing us the  classic  Marvel universe as we know nowadays.

FR : C’est assez marrant car j’avais cette réfléxion avec mon épouse récemment, après avoir vu son caméo dans Captain America 3 : Civil War , Stan Lee est toujours la , il est une des grande figures du monde des comics et un des représentants , une icone du monde Marvel. A 93 ans il est toujours parmi nous et je lui souhaite de rester le plus longtemps possible, mais j’imagine très bien que le jour ou il nous quittera il aura droit à toute une série d’hommage de par l’empreinte qu’il va laisser dans l’industrie des comics et des super héros. Même s’il y a pu avoir à une époque des controverses sur son implication réel des héros de l’unviers marvel , je pense qu’il est à la base de leur créations et ces dernières années il a mis de lui même en avant l’ensemble des artistes/ dessinateurs avec qui il a pu collaborer pour créer cet univers classique de Marvel Comics que ce soit le grand Jack Kirby , Steve Dikto, Gene Colan, John Romita Sr, ou bien d’autres , il est à l’origine des idées  des personnages qui aujourd’hui font remplir les salles de cinéma des héros Marvel. Il a donc tout à fait le droit de lever le pied et d’en profiter un peu !

20160519 – Comics News : Is This REBIRTH’s JOKER? BATMAN #1 Variant Revealed | Newsarama.com

RAFAEL ALBUQUERQUE’s BATMAN #1 variant cover may reveal REBIRTH’s JOKER.

 

Source : Is This REBIRTH’s JOKER? BATMAN #1 Variant Revealed | Newsarama.com

20160519 – Comics News : Geoff Johns Wants DC to Include More ‘Hope & Optimism’ | Comic Book Resources

Geoff Johns Wants DC to Include More ‘Hope & Optimism’ – Though he wouldn’t confirm reports that he is now in charge of DC Films, the DC Entertainment CCO was clear that the brand needs hope and optimism.

« There’s a lot of emotional underpinning of the characters and the stories, » he shared. « It’s not that people take it for granted. They’re just not as aware of it. But when it’s not there, you really feel that emptiness.”

« I think people make a mistake when they say, ‘Superman’s not relatable because he’s so powerful, » he added. « I’m like, ‘Are you kidding me? He’s a farmboy from Kansas who moves to the city and just wants to do the best he can with what he’s got.’ That’s the most relatable character in the world. »

The reported creative shuffle at DC Films comes after the lukewarm reception of « Batman v Superman: Dawn of Justice, » which may have resulted in the appointing of Ben Affleck as a producer on « Justice League » and the firing of director Seth Grahame-Smith from « The Flash » film. Additionally, some reshoots were done on « Suicide Squad » to, it’s said, « smooth out the third act. »

« Suicide Squad, » the next DC Films movie, hits theaters on August 5.

Source : Geoff Johns Wants DC to Include More ‘Hope & Optimism’ | Comic Book Resources

20160430 – DC Comics News / REBIRTH: New Designs For Wonder Woman , Superman , Batman And More Released

DC’S big rebirth will be starting this summer and the company have actually just released some pictures of how icons Wonder Woman , Batman and Superman as well as Harley Quinn , Jessica Cruz , Killer Croc ,The Super Sons and Aquaman.

Get ready for a new look as some of your favorite DC superheros are getting a makeover hit the jump to see some of the pictures.

Source : REBIRTH: New Designs For Wonder Woman , Superman , Batman And More Released

20160429 – News / Star Wars : Mads Mikkelsen gaffe en parlant de son personnage dans « Rogue One » – metronews

« Je ne dois absolument rien dire ». Mads Mikkelsen le savait, pourtant, qu’aucune information ne devait fuiter au sujet de son personnage dans Star Wars : Rogue One, le spin-off qui sortira en décembre 2016. « Enfin si, je pourrais, mais je devrais ensuite vous tuer, vous et toute l’audience. » a-t-il confié, l’air mi-strict, mi-amusé, à la journaliste qui l’interviewait sur la chaîne anglais Sky News hier.

Un personnage en lien avec Jyn Erso, au centre de l’histoire

Loupé. Après que son interlocutrice l’ait supplié de lui en dire un peu plus, Mads Mikkelsen a d’abord expliqué qu’il était, au départ, « un peu effrayé » que l’on fasse appel à lui pour la saga Star Wars. « Je ne savais pas si j’allais porter un costume de stormtrooper ou non. Je ne savais pas si ça m’irait. J’ai lu le script, il était très beau. » Il évoque ensuite l’un des personnages principaux de ce spin-off, Jyn Erso : « Felicity Jones joue une jeune femme charmante et forte. Je joue son…père et Oh ! J’en ai trop dit. Je suis désolé. »

A LIRE AUSSI >> Dark Vador va-t-il apparaître dans « Rogue One » ? 

En janvier dernier, le site Making Star Wars avait déjà lancé quelques rumeurs au sujet du personnage joué par l’acteur danois : « Mads Mikkelsen (dont le nom dans le film semble être Galen) est en quelque sort la clé du film. C’est un scientifique qui prend en charge le projet géonosien de l’Etoile de la Mort. Il a comblé plusieurs failles que l’Empire ne parvenait pas à réparer et est comme un personnage vénéré dans l’Empire grâce à ses contributions. (…) La culpabilité que “Galen” a ressentie à cause de ces contributions est devenue trop forte et il s’enfuit, essayant d’arranger les choses. Pour cela, il demande l’aide de sa fille unique. »

On en sait donc un bon peu sur son rôle dans Rogue One. Heureusement pour Mikkelsen, le public ne sait toujours pas qui il incarnera dans Doctor Strange (sortie octobre 2016).

Source : Star Wars : Mads Mikkelsen gaffe en parlant de son personnage dans « Rogue One » – metronews

20160429 – Star Wars VIII : les princes William et Harry en Stormtroopers ?

VIDÉO – Selon le site anglais The Daily Mail, les deux frères auraient participé au tournage du huitième épisode de la saga intergalactique. Dans le plus grand secret, ils se seraient glissés parmi les soldats du Premier Ordre.

William et Harry au générique de l’Épisode VIII de Star Wars? Cela se pourrait bien. Selon The Daily Mail, les deux frères de sang royal n’auraient pas seulement visité les studios de Pinewood, à Londres le 19 avril dernier. Ils seraient improvisés acteurs le temps d’une scène.

Selon les informations du site anglais, les princes se seraient discrètement glissés dans l’armure de deux Stormtroopers.«Il est temps de vous habiller», a soufflé le réalisateur Rian Johnson dans le creux de l’oreille des deux jeunes hommes juste avant midi.

Un tournage tenu dans le secret le plus total. La plupart des techniciens ont été invités à quitter le plateau. «Tout le monde, à part le réalisateur, le producteur et les membres essentiels de l’équipe, a été congédié du plateau», précise une source au Daily Mail. La production avait même fait croire aux journalistes que les deux princes étaient partis déjeuner pour cacher le véritable motif de leur absence.

Une scène tournée dans le plus grand secret

«Les princes se sont habillés en Stormtroopers et ont filmé une scène dans laquelle Rey (Daisy Ridley) et Finn (John Boyega) infiltrent une base secrète. Les personnages rebelles sont dans un ascenseur avec le personnage joué par Benicio Del Toro, lorsqu’un groupe de Stormtroopers entrent, et deux d’entre eux sont Harry et William», précise une source anonyme au Daily Mail.

Pour l’instant, le porte-parole de la famille royale n’a pas confirmé cette information. Disney, de son côté, s’est également refusé à tout commentaire sur une potentielle apparition des princes dans le prochain épisode de Star Wars. Ce ne serait pas une première. Déjà, dans le Réveil de la Force,Daniel Craig, le mythique James Bond, avait fait une brève apparition, sous le costume d’un Stormtrooper.

Star Wars VIII devrait sortir en salle d’ici à décembre 2017, selon Disney et Lucasfilm. En attendant la date fatidique, le public peut découvrir des images inédites du tournage prises lors de la visite des deux princes.

http://www.dailymail.co.uk/embed/video/1284308.html

 

Source : Star Wars VIII : les princes William et Harry en Stormtroopers ?

20160429 – News : The Punisher aura sa série sur Netflix – L’Express

Après un passage dans la saison 2 de Daredevil, le justicier des comic books Marvel aura sa propre série. Jon Bernthal (The Walking Dead) conserve le rôle-titre

L’union entre Marvel et Netflix va donner naissance à une nouvelle série. Après Daredevil et Jessica Jones, et alors que celle consacrée à Luke Cage (baptisé… Marvel’s Luke Cage) sera disponible dès cet automne, un autre projet va être mis en chantier. Il mettra en vedette The Punisher.

Le site américain Entertainment Weekly a effectivement annoncé ce vendredi que le personnage, apparu dans la saison 2 de Daredevil, aurait droit à sa propre série dérivée. Aucune date de diffusion n’est encore arrêté mais le rôle du vétéran de l’armée Frank Castle, lui, sera repris par Jon Bernthal.

Source : The Punisher aura sa série sur Netflix – L’Express

20160429 – Comics News : Wonder Woman pourrait être à Gotham dans une scène de son film | DCPlanet.fr

Le tournage du film solo Wonder Woman se poursuit et une nouvelle photo publiée sur internet peut nous donner des indices sur une de ses scènes.

En effet, on y voit Gal Gadot devant un camion blindé de Wayne Enterprises. Cette photo confirme donc que le film risque bien de quitter l’époque de la Première Guerre Mondiale pour le monde contemporain pour au moins une scène. De plus, la présence de Wayne Enterprises nous laisse envisager que Diana Prince se trouve à Gotham. Cependant, la corporation de Bruce Wayne est probablement mondiale et la photo a été prise à Paris, et non sur les lieux de tournage ayant servis dans Batman v Superman. Enfin, le camion est immatriculé en France. À vous de spéculer la vérité de cette scène, que ce soit la scène finale s’ouvrant à BvS ou bien Diana qui s’apprête à avouer son passé à Bruce Wayne, maintenant que ce dernier a vu cette fameuse photo datant de la Première Guerre Mondiale. En attendant, le film Wonder Woman sortira le 2 juin 2017.

Lire l’article source sur: http://www.dcplanet.fr/178360-wonder-woman-pourrait-etre-a-gotham-scene-de-film

 

Source : Wonder Woman pourrait être à Gotham dans une scène de son film | DCPlanet.fr