20160527 – Comics Art : 1985 – Anatomy of a Cover – Incredible Hulk #309 by Mike Mignola — Marvel Comics of the 1980s

 

via 1985 – Anatomy of a Cover – Incredible Hulk #309 by Mike Mignola — Marvel Comics of the 1980s

20160526 – L’affiche de la Star Wars Celebration 2016 pourrait bien devenir votre nouveau fond d’écran

Cette année, la Star Wars Celebration nous offrira de belles choses. Nous en saurons …

 

Cette année, la Star Wars Celebration se déroulera à Londres ! Et pour annoncer la chose, Lucasfilm a réalisé un magnifique poster mettant en scène les personnages de Rogue One, bien entendu, mais également ceux de la postlogie. Un poster disponible aussi bien avec le texte que sans.

La Star Wars Celebration se déroulera du 15 au 17 juillet prochain !

 

Source : L’affiche de la Star Wars Celebration 2016 pourrait bien devenir votre nouveau fond d’écran

20160525 – Anniversaire de Star Wars: une infographie de 123 mètres de long

INFOGRAPHIE – Aujourd’hui, il y a 39 ans jour pour jour, sortait aux États-Unis le premier film de George Lucas. Pour célébrer cette date-clef, une infographie ambitieuse de plus de 100 mètres résume l’intrigue d’Un Nouvel Espoir avec brio.

Il y 39 ans jour pour jour sortait sur les écrans américains le premier Star Wars de George Lucas. Bizarrement intitulé Episode IV, ce 25 mai 1977, Un nouvel Espoir suscitait la curiosité des spectateurs américains.

En revanche, la presse ne fut pas si enthousiaste au space opera mettant en scène Luke Skywalker et la princesse Leia. Lucas à l’époque, commence l’écriture de son film en 1973.

Après le petit succès d’estime de son premier film, THX 1138, oeuvre expérimentale, sort sur quelques écrans américains, c’est American Graffiti fait un malheur. À 32 ans, le jeune réalisateur entame alors les négociations avec la 20th Century Fox. Il est en position de force. Son projet de saga de science-fiction inspirée des comic books d’Alex Raymond Flash Gordon n’intéresse personne. En Italie, un certain Federico Fellini a, lui aussi, tenté d’adapter ce foisonnant univers au cinéma, mais sans succès.

À Los Angeles, la Fox ne s’enthousiasme pas pour le projet The Adventures of the Starkiller, premier titre de La Guerre des étoiles. Elle lui alloue gentiment 11 millions de dollars. Lucas, au contraire, y croit tellement qu’il renonce à son salaire au profit d’un pourcentage sur les recettes, ainsi que les droits sur les produits dérivés, marché insignifiant à l’époque. «Je n’ai cessé de faire des compromis pour que les choses soient faites à moitié, expliquera-t-il plus tard. J’étais terriblement insatisfait.»

Pendant le tournage en Tunisie, Lucas change le nom de son héros: Luke Starkiller devient Luke Skywalker et il rebaptise le film Star Wars. «J’ai toujours voulu faire un film pour les jeunes qui fournisse au monde contemporain une mythologie forte», martèle-t-il. L’avenir lui donnera raison. «Il y a très longtemps dans une lointaine galaxie…» percute de plein fouet l’imaginaire de toute une génération de spectateurs ébahis par la mythologie sous-jacente de cette saga stellaire. Non seulement Star Wars remporte sept oscars, mais son succès planétaire surprend le Tout-Hollywood. Ce qui achève de dégoûter Lucas des grands studios.

Porté par un succès sans cesse grandissant, ce space opera d’un genre nouveau réalise 775 millions de dollars de recettes dans le monde. Désormais riche, George Lucas peut fonder son propre empire: la maison de production Lucasfilm et sa société d’effets spéciaux ILM. Le raz de marée est planétaire. Lucas prend sa revanche sur Hollywood.

A l’occasion de cet anniversaire, un spécialiste de Star Wars a mis en ligne une infographie formidable, de 123 mètres de long qui raconte le premier film d’un bout à l’autre, et de manière très amusante. Jugez plutôt!

Source : Anniversaire de Star Wars: une infographie de 123 mètres de long

20160525 – Comics News :DC UNIVERSE: REBIRTH #1 – Explaining the Two WALLY WESTs | Newsarama.com

It’s getting harder to miss one of the major spoilers of DC’s latest universe-changing event. In case you didn’t, we answer some questions you might have.

Updated May 24, 2016: Since publication of this story DC Comics has revealed a third image of Wally West from DC Universe: Rebirth #1 without a spoiler warning, this time on its Facebook page.

Original Story: Spoilers ahead for DC Universe: Rebirth #1.

Among all the excitement about the return of post-CrisisWally West in DC Universe: Rebirth #1, there’s one element of his return that’s an even bigger surprise — there will apparently now be two Wally West speedsters in the DCU.

As seen in the DC Universe: Rebirth #1 pages that leaked Friday afternoon and subsequent official preview pagesreleased to the comic book press and USA Today, DC now has two Wallys in their Rebirth’ed universe. And both wear a Kid Flash costume, though the original Wally is seen in a brand new costume at the end of the special.

According to the special due Wednesday, the two Wallys are established as cousins who had never met, named after the same great-grandfather, Wallace West. The older, original Wally is Rudy West’s son. The newer, younger Wally is Rudy’s brother Daniel West’s son. Both share an aunt (Rudy and Daniel’s sister), Iris West.

“I was as close to Iris as I was far from Daniel,” explains the original Wally in narration.

Diving deeper, the just-returned-from-the-past Wally is older (but younger than his last pre-Flashpoint appearance) white, red-headed speedster. The character was introduced in 1959 and started as a Kid Flash, one of the members of the Teen Titans, but then graduated to taking over the Flash mantle as an adult in the 1980’s – all continuity that is now, apparently, reestablished. He disappeared from continuity when DC rebooted their universe in 2011, but now he’s back. And Newsarama has learned that he’ll be co-starring with other adult, former Teen Titans in the new Titans series by writer Dan Abnett.

But there’s also the younger, more-recently-introduced, « New 52 » version of Wally West, a black teenager. Flash Rebirthwriter Josh Williamson told Newsarama that the « kid » version of Wally West will evolve into the new Kid Flash within the pages of the Flash title (as confirmed by DC Universe: Rebirth #1), then will be part of the Teen Titans title.

Williamson said that there will be a « twist » with Wally’s evolution, which hints that maybe the older Wally will be part of mentoring the younger one.

While the existence of two Wally West’s now has a simple explanation, it isn’t the only character ‘duplication’ that is emerging as DC works to undo some of the problems that arose after the company’s « New 52 » reboot in 2011, which had eliminated many of the company’s best-loved legacy characters. Now, in the Rebirth’ed DCU, it appears that there will be two Lois Lanes, and we’re still not sure how many Clark Kents.

Source : DC UNIVERSE: REBIRTH #1 – Explaining the Two WALLY WESTs | Newsarama.com

20160525 – News / Netflix et Disney : que comprend le deal ?

À partir de septembre 2016, les derniers contenus Disney seront proposés en exclusivité sur la plateforme de streaming à la demande. Avec Disney, ce sont aussi les films Pixar, Marvel et Lucasfilm qui s’offrent au géant de la VoD. Voici ce que les utilisateurs américains verront s’ajouter au catalogue Netflix, pour peu que le partenariat dure 4 ans ou plus.

Évoquée dans un billet de blog daté du 23 mai relatif aux projets d’été de Netflix, cette opération est en réalité en préparation depuis 2012.

Des films récents, à commencer par les sorties de 2016, viendront les premiers enrichir le catalogue Netflix. La durée du partenariat n’a cependant pas été précisée et tout est question d’exclusivité temporaire.

En gardant cela à l’esprit, que trouveront les Américains sur Netflix ?

Les studios Walt Disney Animation ont programmé la sortie des aventures océaniques de Moana en novembre 2016 et celle du remake de Jack et le haricot magique « Gigantic » pour mars 2018.

Un projet qui ne porte pour l’instant pas de nom sortira en novembre 2020. Il pourrait s’agir de « La Reine des neiges 2 ».

Selon le calendrier Pixar, « Le monde de Dory » sortira en juin 2016, « Cars 3 » en juin 2017, « Toy Story 4 » en juin 2018 et « Les Indestructibles 2 » en juin 2019. Prévu pour novembre 2017, « Coco » puisera son inspiration dans la très colorée fête des morts mexicaine.

Si le partenariat entre Netflix et Disney demeure d’actualité pendant quatre ans, ce sont 10 filmsMarvel Studios qui s’ajouteront au catalogue. L’univers cinématique Marvel entrera dans sa troisième phase avec « Captain America: Civil War » au mois de mai, puis avec les films « Gardiens de la galaxie », « Spiderman », « Thor » et « Ant-Man », « Black Panther » et « Captain Marvel » pour se terminer avec « Avengers: Infinity War – Partie 2 » en mai 2019.

Le documentaire Disneynature sur les pandas « Born in China » sera sur les écrans en 2017. Les studios Walt Disney Pictures ont présidé au succès de deux hits de 2016 : « Zootopia » et « Le Livre de la Jungle ». « Le BGG » (Bon gros géant) de Spielberg sortira par ailleurs dans quelques semaines.

Les deux prochaines années verront la concrétisation de « Peter et Elliott le dragon » (Bryce Dallas Howard) et « Queen of Katwe » (Lupita Nyong’o, David Oyelowo) mais aussi du remake de la « Belle et la Bête » (Emma Watson) ainsi que six autres adaptations de contes. La suite d' »Avatar » est quant à elle prévue pour 2018.

Si Lucasfilm ne faisait pas partie de la sphère Disney lors de l’annonce de 2012, c’est désormais le cas.

« Star Wars: Le réveil de la Force » (2015) n’est pas concerné par l’exclusivité Netflix mais « Rogue One: A Star Wars Story » (décembre), puis « Star Wars: Episode VIII », « Star Wars: Episode IX » (2019) et peut-être un nouvel « Indiana Jones » pourraient faire une première escale sur Netflix avant d’atterrir ailleurs.

Source : Netflix et Disney : que comprend le deal ?

20160523 – Comics News : Les super-héros des comics sont le dernier or noir du cinéma – O – L’Obs

Sipder-Man, X-Men, Superman, Batman… Nés dans des illustrés à quatre sous, ces super-héros nourrissent Hollywood ad libitum. Une aubaine pour les négociants experts en vieux comics, dont les cotes explosent.
Texte : Philipp Guedj photographie : Paul & Henriette (pour l’Obs)

Les clients de la boutique JHU Comics, en plein cœur de Manhattan, n’en ont pas cru leurs yeux. Le 4 avril dernier, peu après 14h30, Docteur Strange en personne passe une tête à l’improviste, achète une copie de la BD portant son nom et prend la pose tout sourire avec les managers du magasin. À deux pas de la 32e rue, à la fin du tournage de l’adaptation par Marvel des aventures du maître des forces occultes, l’acteur Benedict Cumberbatch fait son petit effet en costume et l’image fait le tour du web. Symbole d’une love story entre les comics et Hollywood ? Pas vraiment.

Les créateurs totalement zappés

Mark Millar l’a un peu mauvaise. Le scénariste créateur de Civil War, la mini-série qui a révolutionné l’univers Marvel au milieu des années 2000, digère mal que Marvel Studios ne l’ait pas associé à la promotion du blockbuster Captain America : Civil War. L’intrigue du 3e volet des aventures du super-patriote, en salles depuis le 27 avril, ne fait que repiquer quelques idées clés de son travail. Il ne s’est d’ailleurs pas privé de le rappeler à plusieurs reprises, ces derniers jours, sur son compte Twitter. Millar, dont la série Ultimates avait déjà été généreusement pillée dans les films Iron Man et Avengers, peut se consoler en se disant qu’il n’est pas le seul. Le précédent Captain America : le soldat de l’hiver reprenait mot pour mot le titre d’une mini-série du scénariste Ed Brubaker, sans jamais que ce dernier ne reçoive d’honneurs particuliers. Et c’est très discrètement que le générique de fin de Batman Vs. Superman de Zack Snyder remercie Frank Miller, alors que moult répliques et plans du film puisent directement dans sa mythique tétralogie en BD The Dark Knight Returns. Par ailleurs, qui se souviendra du nom des vrais créateurs deDeadpool (Rob Liefeld et Fabian Nicieza), carton mondial de l’année au cinéma ? Ou encore du véritable créateur du Punisher (Gerry Conway), le super flingueur vu sur Netflix dans la série Daredevil saison 2 ? Et pourtant : leurs histoires, fantaisies de papier vendues jadis entre 50 cents et 2 dollars dans les échoppes de comics, sont devenues un carburant crucial de l’industrie hollywoodienne.

Des comics strips au grand écran

Si les auteurs semblent définitivement oubliés, les BD elles-mêmes s’en sortent mieux. « Jusque-là, les studios adaptaient principalement des livres, explique Fabrice Sapolsky, fondateur de la revue spécialiséeComic Box et lui-même scénariste de comics (Spider-Man Noir pour Marvel). Mais le triomphe inattendu de X-Men et de Spider-Man, en 2000 et 2002, a prouvé à Hollywood le potentiel des comics. Pour eux, c’est du pain béni : ils voient tout de suite à quoi peut ressembler le film, c’est plus facile pour investir. Pour convaincre les acteurs de faireWatchmen, le réalisateur Zack Snyder leur a envoyé directement la BD. » Pour la première fois, des comics se retrouvent également entre les mains d’investisseurs capables d’aligner, sur la foi d’une première lecture, des dizaines de millions de dollars. Le changement de paradigme ne s’arrête pas là : le comic book n’est plus un produit culturel pour ados ou nerds, mais bel et bien une œuvre. Et déjà, la valeur faciale du produit n’a plus rien à voir avec son impact.

 

Dès 1986, Watchmen, la saga nihiliste retourne en effet comme une crêpe l’intelligentsia littéraire et médiatique. Pour la première fois depuis l’acte de naissance officiel des justiciers en collants (Action Comics n°1, 1938 : première apparition de Superman), un illustré mensuel en 12 épisodes offre une réflexion consciente sur le genre ainsi qu’un regard effroyablement pessimiste sur son époque. Encensée jusque dans le magazine Time, Watchmen remporte une flopée de récompenses et sa réédition en version compilée popularise, avec The Dark Knight Returns de Frank Miller, publiée la même année également chez l’éditeur DC, l’appellation de « roman graphique ». Néanmoins, pour se les procurer, il faut encore à l’époque se rendre dans des boutiques spécialisées et celui qui cherche d’anciens exemplaires passe par la case bouquiniste sans pour autant devoir casser sa tirelire.

Les créateurs du 7e Art ne se sont pas pour autant massivement emparés des surhommes du 9e. Excepté les icônes d’avant-guerre, Batman et Superman, les comics de super-héros devront attendre le xxie siècle pour voir leur valeur décupler. Les planètes s’alignent alors : les progrès des effets numériques permettent enfin des miracles et, surtout, les ados des années 1970/80, les plus exposés à cette culture, prennent le pouvoir à Hollywood. J. J. Abrams, Sam Raimi, Joss Whedon, Christopher Nolan, Zack Snyder, et jusqu’aux plus hauts cadres des studios : à Los Angeles, les décideurs bouffeurs de comics professent leur amour du genre et par là même le légitiment.

L’irrésistible ascension du vintage

Les recettes spectaculaires des films Spider-Man et X-Men, le besoin de héros positifs dans une Amérique post 11-Septembre, le choc The Dark Knight en 2008 puis le big bang des productions Marvel Studios initié par Iron Man font le reste.

Le petit écran lui aussi s’abreuve au même or noir :

Aujourd’hui, un geek absolu comme le producteur Greg Berlanti est le showrunner de quatre séries télé de super-héros à l’antenne : Flash, Arrow, Supergirl et Legends of Tomorrow. Quatre ! C’est sans précédent !

ajoute Fabrice Sapolsky. Juste retour de bâton, c’est précisément à l’aube des années 2000, lorsque le cinéma décuple leur aura culturelle que la cote des comic books vintage s’envole et que son marché se structure grâce à l’essor du web.

Quelques personnes avaient déjà commencé à collectionner les comics depuis le début, mais ils ne communiquaient pas vraiment entre eux. Ils le faisaient simplement par plaisir personnel

rappelle Barry Sandoval, directeur du département comics de la société Heritage Auctions.

Une BD à 3,2 millions de dollars

Le Californien Mitchell Mehdy fut ainsi le premier, en mai 1973, à susciter un buzz médiatique national en payant, du haut de ses 18 ans, 1 800 dollars pour une copie originale du célèbre Action Comics n°1. « Il fut interviewé dans les talks shows et les magazines, mais à l’époque les gens le prenaient plutôt pour un demeuré« , précise Sandoval. Trente-huit ans plus tard, en 2011, personne ne rit au nez de l’acheteur d’une autre copie du même Action Comics, vendu à 2,1 millions de dollars : Nicolas Cage, collectionneur notoire de comics avec quelques autres célébrités hollywoodiennes. Considéré désormais comme un précurseur gourou du secteur, Mitchell Mehdy continue lui-même de collectionner les comics vintage et prédit aux chefs-d’œuvre du genre un destin similaire aux toiles d’Andy Warhol ou de Picasso.

Depuis plus de dix ans, les records d’enchères de ces vieilles bandes dessinées sont régulièrement battus : un million de dollars pourDetective Comics n°27 (1939, première apparition de Batman) en 2010 ; 1,8 million pour une copie quasi parfaite d’Amazing Fantasy n°15 (1962, première apparition de Spider-Man) en 2010 ; 3,2 millions de dollars pour l’indétrônable Action Comics n°1 en 2014. « Je suis certain de voir un jour le premier Action Comics atteindre une vente à 10 millions de dollars« , écrivait Mitchell Mehdy en 2011 sur le site Collectors Society. Avec un nouveau facteur à prendre en compte : les adaptations au cinéma ou à la télévision. « Les films, ou même la simple annonce d’un futur tournage, a un effet multiplicateur incontestable sur la cote de la B. D. concernée : aujourd’hui, une copie de très bonne qualité du premier numéro de Suicide Squad (1987 et adaptée cette année sur les écrans) se vend déjà 3 000 dollars. Il y a encore cinq ans, on ne l’aurait même pas envoyée la faire expertiser« ,explique Barry Sandoval.

 

Expertiser ? Dans leur grande majorité, ces records officiels sont en effet atteints lors de ventes gérées par d’authentiques sociétés de négoce, dont les leaders : Heritage Auctions (basée à Dallas) et la new-yorkaise Metropolis Collectibles. La première organise de vraies ventes aux enchères en live, quatre fois par an entre New York, Los Angeles et Dallas :

Aujourd’hui, les collectionneurs achètent ces périodiques comme un investissement qu’ils espèrent bien rentabiliser des années plus tard

résume Barry Sandoval. Pour preuve, le sexagénaire new-yorkais Walter Yakaboski avait acheté 1.200 dollars une copie en parfait état d’Amazing Fantasy n°15 en 1980. Le 18 février dernier, au terme d’une vente organisée à Dallas par Heritage Auctions, Yakaboski revendait son exemplaire… 454.000 dollars.

Des agences de cotation

Dans ces société de négoce, les prix sont déterminés à partir de l’état des copies concernées, notées de 1 à 10 sur une échelle fixée officiellement par la société privée CGC (Comics Guarantee LLC). Créée en 2000 et basée en Floride, cette dernière détient le monopole de la cotation des comics de collection aux États-Unis au même titre que les agences de cotation dans le milieu de la finance : « Chaque exemplaire est évalué par trois juges différents, totalement neutres, qui l’examinent sans connaître l’identité du vendeur, explique Barry Sandoval. Chacun donne leur note et le CGC retient la moyenne puis scelle le comic book dans une pochette en plastique dur. Tant que le sceau n’a pas été brisé, la note est toujours valide. » Une fois certifié CGC, l’exemplaire de collection est confié aux bons soins d’une société comme Heritage Auction, qui le conserve dans un coffre-fort à l’adresse tenue secrète. Avec leurs commission de 10% facturée à chaque vente pour leur service d’intermédiaire, Heritage Auction, Metropolis Collectibles et d’autres ont fait fortune. Les auteurs, scénariste ou dessinateur, déjà quasi-oubliés des génériques à l’écran, ne verront pas non plus la couleur de cet argent : « C’est hélas habituel dans le système américain, rappelle Fabrice Sapolsky. Quand un auteur signe pour Marvel ou DC, il cède à vie tous ses droits sur sa création. » Cela n’a pas empêché l’écrivain le plus côté du moment aux États-Unis, Ta-Nehisi Coates, auteur d’Une colère noire, lettre à mon fils (Édition Autrement), de s’atteler le mois dernier au scénario de la bande-dessinée Black Panther, relançant la carrière d’un des rares super-héros africains de l’univers Marvel. Celui-ci étant déjà destiné à faire l’objet d’un film en 2018, il est fortement recommandé d’acheter les exemplaires encore disponibles.

Philippe Guedj

Source : Les super-héros des comics sont le dernier or noir du cinéma – O – L’Obs

20160521 – Second ‘Star Trek Beyond’ Trailer Pits Idris Elba Against the Enterprise Crew | Spinoff Online | TV & Film News Daily

The second « Star Trek Beyond » trailer has arrived, with Idris Elba’s Krall targeting Captain Kirk (Chris Pine) and the Enterprise.

 

 

Source : Second ‘Star Trek Beyond’ Trailer Pits Idris Elba Against the Enterprise Crew | Spinoff Online | TV & Film News Daily

20160520 – Comics News :BATMAN Star Michael Keaton Now In Final Negotiations To Play The Villain In SPIDER-MAN: HOMECOMING

You can start making Birdman jokes again. After initially passing on the role, THRreports that Michael Keaton (Batman, Beetlejuice, The Other Guys) is back in final talks to play the villain in Marvel and Sony’s solo Spidey reboot, Spider-Man: Homecoming. Apparently the studios approached several other actors before ultimately returning to Keaton – presumably with a better offer.

There’s still no official word on the character he’d portray, but The Vulture is strongly rumored.

Spider-Man: Homecoming will star Tom Holland in the title role, along with Marisa Tomei as unt May, Zendaya as the still unnamed female lead, Tony Revolori, Laura Harrier (also unknown characters) and Robert Downey Jr. as Tony Stark/Iron Man.

Source : BATMAN Star Michael Keaton Now In Final Negotiations To Play The Villain In SPIDER-MAN: HOMECOMING